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L’INDEPENDANCE

LES GRANDES ETAPES DE LA LUTTE POUR L’INDEPENDANCE
APRES LA LUTTE ARMÉE, LES REVENDICATIONS POLITIQUES
Après l’insurrection de Sidi El Mokrani, la lutte pour la libération l’Algérie reprend d’abord sous la forme d’une revendication politique. Les élites algériennes tirent la leçon de ce qu’elles ont appris à l’école française elle-même, la leçon de la Révolution française de 1789.
Les Algériens revendiquent l’égalité des droits civiques avec les français. C’est d’abord une question de dignité humaine : les hommes sont égaux entre eux. Ce sera ensuite la contrepartie de l’égalité des sacrifices lorsque les Algériens auront été astreints au service militaire et ils partent, avec les troupes les plus exposée en première ligne, à la première guerre mondiale (1914-1918).
ENTRE LA PREMIERE ET LA SECONDE GURRE MONDIALE (1920-1939)
L’inégalité entre Algériens et français ou naturalisés est ressentie la fois par les travailleurs des villes que la ségrégation relègue parmi manœuvres, mal payés, souvent réduits au chômage ; et par les fellahs font la situation empire alors que s’enrichissent les colons européens comme l’égalité civique et politique avec les Français ne peut être obtenue, couse de l’opposition des maires européens et de leurs représentants à l’assemblée d’Alger (Délégation Financières), la résistance algérienne organise sur deux fronts :
(1e) autour de Messali Hadj, fondateur de << L’Etoile Nord-Afrique>> (1926) qui en viendra à demander la restitution des terres confisques aux paysans de l’indépendance de l’Algérie ;
(2e) autour du mouvement religieux de ‘ulema, lancé par le cheikh abdlhamid ben badis, qui travaille à faire renaître la religion et la culture arabe et la gloire passée du peuple algérien : << L’Islam et notre religion, l’arabe notre langue, l’Algérie notre patrie >>
La répression colonialiste s’âdat sur Messali, sur les ‘ulemaet les hommes que voulait commencer le gouvernement français du Front Population ne voient pas le jour : les maires et les colons s’y opposent violement avec l’appui de la presse Française d’Algérie et la complicité de l’administration.
LA SECONDE GUERRE MONDIALE ET LES DERNIERE TENTATIVES DE RESISTANCE LEGALE (1939-1949)
A la veille de la seconde guerre mondiale l’opposition est organisation en différents mouvements, parmi lesquels celui de ferhat Abbas et le parti populaire Algérien (P.P.A.) de Messali. Les persécutions qui assaillent les chefs responsables manifestent le ralliement des Français d’Algérie au régime profasciste de Vichy. La paix revenue et la France libérée, les sacrifices demandés aux Algériens pour cette libération ne sont pas pays de retour malgré ce que laissaient espérer la déclaration du Général Goulle en 1944.
Au contraire, au moment même où les Alliés reçoivent la capitulation allemande, une répression féroce qui utilise les exécutions sommaires, les bombardements, les mitraillages par avion répondent aux manifestations nationalistes de mai 1945. Des condamnations à mort sont prononcées, Frhat Abbas est arrêté, Messali Hadj déporté.
Après leur libération, les chefs nationalistes fondent à nouveaux des partis politique qui réclament l’égalité civique pour tous les habitons de l’Algérie et une République algérienne autonome (c’est-à-dire ne dépendant pas du gouvernement français) : c’est l’Union Démocratique des Manifeste Algérien de Ferhat Abbas, ou U.D.M.A. et le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratique, ou M.T.L.D., de Messali.
Les élections multiples qui sont organisées à partir de 1945 devraient voir le triomphe des candidats de ces partis mais toutes les manœuvres sont employées pour que la voix des Algériens ne soit pas entendue (élections truquées, candidats ou députés arrêtés…). Le statut de l’Algérie de 1947 est amputé de ses mesures les plus avancées, comme le vote des femmes, la suppression des communes mixtes et l’enseignement obligatoire de la langue arabe et il maintient l’inégalité entre les citoyens. En plus du truquage des élections, les opérationspolicières assorties de lourdes peines et de tortures maintiennent un régime de terreur.
L’ORGANISATION DE LA LUTTE ARMÉE. LA GUERRE DE LIBERATION
Devant la situation qui est faite, il ne reste plus à l’Algérie qu’un moyen pour conquérir sa liberté : organiser dans la clandestinité (c’est-à-dire dans le secret) la lutte armée contre l’oppression. C’est ce que Ben Bella demande en 1948.
Organisation spéciale (ou O.S.) est constituée en vue de ce but. Este d’abord par l’attaque de la poste d’Oran en 1949, et en vasions de Ben Bella en 1950. L’exemple des luttes de la libération au Maroc et en Tunisie stimule les résistants algériens. Les l’Egypte en particulier, les soutiennent. En 1954, l’O.S. Novembre 1954 le signal libérateur.
Guerre de libération nationale était commencée Sous l’impulsion de Libération Nationale (F.L.N.), elle s’étendra à toutes armées mises en œuvre par la France, ni les procédés d’bombardements, arrestations, destructions de villages entiers (sacre), ni le criminel sursaut raciste de l’O.A.S. ne purent victoire des maquisards, de l’A.L.N. et des fedayin. Après de luttemeurtrière, le peuple algérien obtient son indépendance seulementproclamée le 5 juillet 1962.
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